5 mythes sur l’entrepreneuriat étudiant à déconstruire
le 10 février 2025
L’entrepreneuriat étudiant suscite de plus en plus d’intérêt (on a clairement explosé nos chiffres d’étudiants accompagnés ces deux dernières années.) Pourtant, il reste encore de nombreuses idées reçues qui peuvent freiner les initiatives.
Ces mythes, souvent amplifiés par des expériences mal comprises ou des stéréotypes, vous poussent à douter de votre capacité à entreprendre. Dans cet article, nous déconstruisons cinq de ces croyances qui limitent trop souvent vos ambitions. Que vous soyez étudiant à Grenoble ou ailleurs, ces réalités pourraient bien vous encourager à franchir le pas et à transformer vos idées en projets concrets.
Au Pépite, on est aussi là pour accompagner vos stratégies de financement, que vous soyez plutôt sur un modèle Bootstrap (processus de création d'une entreprise à partir de zéro sans attirer d'investissement et en finançant la croissance avec l’argent généré par les premiers clients) ou Startup (où vous allez chercher des levées de fonds assez tôt dans le processus de création.)
Pour aller plus loin, on trouve même que le statut étudiant est un moment parfait pour débuter en entrepreneuriat. Ci-dessous une liste non exhaustive des avantages :
Bien qu’il arrive également que les étudiants portent des projets qui n’ont a-priori rien à voir avec leur cursus, cela reste un immense atout car ils arrivent avec une vision différente que les étudiants qui baignent dans le monde business dans leur quotidien.
Une des questions à laquelle on répond le plus est “Je fais des études de …………., est-ce que je peux quand même avoir le Statut National d'Étudiant Entrepreneur ?” Alors on vous répond une bonne fois pour toutes : OUI.
Jamais le choix d’études de nos étudiants n’a été un critère concernant l’obtention du statut ou concernant sa réussite dans son parcours entrepreneurial.
Nombreux sont nos étudiants qui lancent un projet puis pivotent* dans la foulée en confrontant l’idée au terrain, ou bien après plusieurs mois/années d’entrepreneuriat difficiles où ils nageaient à contre courant.
Dans notre article “7 success stories d'entrepreneurs et d’entrepreneuses grenobloises (que des pépites) ” tu remarques qu’un nombre significatif de nos entrepreneurs à succès ont commencé avec un projet pour passer complètement à autre chose dans les mois et années qui suivent.
D’ailleurs, le bruit court dans le milieu qu’une banque accorderait plus facilement un prêt à un entrepreneur qui a déjà échoué dans une première activité. Alors plus que jamais, il est temps de voir l’échec comme un apprentissage nécessaire et sain dans ta vie d’entrepreneur.
*Le pivot est une réorientation du modèle économique d'une entreprise permettant de corriger une erreur stratégique ou de pilotage.
Rien n’est plus formateur que d’aller confronter ton idée au terrain, d’aller proposer ton produit ou ton service et de te nourrir des retours que te font tes concurrents, potentiels clients ou partenaires.
Qu’on soit clair, on n’aura jamais toutes les réponses à tes questions. On ne sera jamais la solution miracle qui te fera cartonner du jour au lendemain. (N’importe quelle structure qui te dira le contraire est clairement un charlatan.) L’entrepreneuriat est un long chemin et accompagner ceux qui s’y risquent, c’est notre métier.
Déconstruire ces mythes sur l’entrepreneuriat étudiant, c’est permettre à chacun de réaliser que le succès ne dépend pas d’une situation idéale, mais d’une combinaison de détermination, d’apprentissage et d’adaptation.
À Grenoble, le Pépite oZer est expressément fait pour accompagner de nombreux étudiants sur ce chemin, prouvant que l'entrepreneuriat est accessible à tous.
Chaque académie a sa Pépite, donc si vous nous lisez d’un autre endroit que nos chères Alpes, vous pouvez retrouver votre Pépite de rattachement sur Pépite France.
Mythe 1 : « Il faut avoir beaucoup d’argent pour se lancer »
On ne va pas se mentir, l’argent est une vraie question lorsqu'il s’agit d’entreprendre. Premièrement, on le sait, le statut étudiant peut être source d'insécurité financière, entre jobs étudiants à côté des cours, bourses et aides sociales. Par contre, on voit encore trop d'entrepreneurs ne pas oser se lancer pour la simple raison qu’ils ne connaissent pas tous les moyens possibles pour financer les débuts de leur activité.Au Pépite, on est aussi là pour accompagner vos stratégies de financement, que vous soyez plutôt sur un modèle Bootstrap (processus de création d'une entreprise à partir de zéro sans attirer d'investissement et en finançant la croissance avec l’argent généré par les premiers clients) ou Startup (où vous allez chercher des levées de fonds assez tôt dans le processus de création.)
Mythe 2 : « Être étudiant et entrepreneur, c’est impossible »
Cette peur est légitime et on la comprend. Cependant, grâce au statut d’étudiant entrepreneur, des aménagements de votre emploi du temps sont possibles pour adapter au mieux vos deux activités. Par exemple, il est possible de substituer votre stage ou votre alternance par votre projet d’entreprise au sein de Pépite. Et si certains responsables de cursus peuvent se montrer réticents à cette idée, l’équipe Pépite est aussi là pour défendre votre posture et valoriser le cadre professionnel dans lequel vous êtes accompagnés.Pour aller plus loin, on trouve même que le statut étudiant est un moment parfait pour débuter en entrepreneuriat. Ci-dessous une liste non exhaustive des avantages :
- Le temps à disposition, car même si certaines études sont exigeantes, vous avez généralement plus de temps disponible que si vous étiez en CDI, un foyer avec des enfants en bas âges à gérer !
- Un statut idéal pour aller solliciter la concurrence ou des potentiels futurs clients (ils sont généralement plus ouverts et accessibles face à une démarche étudiante)
- L’opportunité de vous offrir votre premier job post diplôme. Quel rêve plus grand que de pouvoir s’embaucher soi-même directement à la sortie de ses études ?
Mythe 3 : « Seuls les étudiants en business peuvent réussir »
Au contraire. Les étudiants en business savent généralement faire du business, certes mais les étudiants venant d’autres horizons ont généralement une base d’expertise qui leur permet de construire un business autour de ça, et c’est là qu’on intervient pour vous accompagner sur la partie entrepreneuriale de la chose.Bien qu’il arrive également que les étudiants portent des projets qui n’ont a-priori rien à voir avec leur cursus, cela reste un immense atout car ils arrivent avec une vision différente que les étudiants qui baignent dans le monde business dans leur quotidien.
Une des questions à laquelle on répond le plus est “Je fais des études de …………., est-ce que je peux quand même avoir le Statut National d'Étudiant Entrepreneur ?” Alors on vous répond une bonne fois pour toutes : OUI.
Jamais le choix d’études de nos étudiants n’a été un critère concernant l’obtention du statut ou concernant sa réussite dans son parcours entrepreneurial.
Mythe 4 : « L’échec détruit toute crédibilité en tant qu’entrepreneur »
Après avoir accompagné des centaines de jeunes entrepreneurs (voire peut-être un millier) en une douzaine d'années, on retient une chose : la première idée n’est pas toujours la bonne.Nombreux sont nos étudiants qui lancent un projet puis pivotent* dans la foulée en confrontant l’idée au terrain, ou bien après plusieurs mois/années d’entrepreneuriat difficiles où ils nageaient à contre courant.
Dans notre article “7 success stories d'entrepreneurs et d’entrepreneuses grenobloises (que des pépites) ” tu remarques qu’un nombre significatif de nos entrepreneurs à succès ont commencé avec un projet pour passer complètement à autre chose dans les mois et années qui suivent.
D’ailleurs, le bruit court dans le milieu qu’une banque accorderait plus facilement un prêt à un entrepreneur qui a déjà échoué dans une première activité. Alors plus que jamais, il est temps de voir l’échec comme un apprentissage nécessaire et sain dans ta vie d’entrepreneur.
*Le pivot est une réorientation du modèle économique d'une entreprise permettant de corriger une erreur stratégique ou de pilotage.
Mythe 5 : « Créer une entreprise nécessite d’avoir toutes les compétences dès le départ »
La plus grande erreur des apprentis entrepreneurs est d’attendre d’avoir 80% des réponses à leurs questions et doutes pour commencer, alors que 80% des réponses viennent sur le chemin.Rien n’est plus formateur que d’aller confronter ton idée au terrain, d’aller proposer ton produit ou ton service et de te nourrir des retours que te font tes concurrents, potentiels clients ou partenaires.
Qu’on soit clair, on n’aura jamais toutes les réponses à tes questions. On ne sera jamais la solution miracle qui te fera cartonner du jour au lendemain. (N’importe quelle structure qui te dira le contraire est clairement un charlatan.) L’entrepreneuriat est un long chemin et accompagner ceux qui s’y risquent, c’est notre métier.
Déconstruire ces mythes sur l’entrepreneuriat étudiant, c’est permettre à chacun de réaliser que le succès ne dépend pas d’une situation idéale, mais d’une combinaison de détermination, d’apprentissage et d’adaptation.
À Grenoble, le Pépite oZer est expressément fait pour accompagner de nombreux étudiants sur ce chemin, prouvant que l'entrepreneuriat est accessible à tous.
Chaque académie a sa Pépite, donc si vous nous lisez d’un autre endroit que nos chères Alpes, vous pouvez retrouver votre Pépite de rattachement sur Pépite France.
Publié le 10 février 2025
Mis à jour le 6 février 2025
Mis à jour le 6 février 2025